Une visite incroyable vous attend à Budapest. Des attraits touristiques qui marqueront vos vacances dans la capitale de la Hongrie. Découvrez les meilleurs attraits touristiques de Budapest.
Bains thermaux :
Budapest, une capitale célèbre de ses bains thermaux et de sa balnéothérapie, assure d’une manière unique, le moyen aux dames de se servir de la piscine thermale du Bain Thermal Rudas, un vrai hammam turc. Dès le 1er juin 2006, le Bain Thermal Rudas introduit une journée d’ouverture uniquement pour les clientes, où, le mardi de 06 h 00 à 20 h 00 l’occasion de l’aventure incomparable en Europe de faire la baignade sans maillot de bain est offerte. Un autre changement important est que les journées de week-end sont également libérées et désormais le Bain Rudas sera ouvert pour hommes et femmes, en maillot de bains, le samedi et le dimanche. Ceux qui souhaitent allier baignade et distraction, le samedi et le dimanche peuvent bénéficier des parties éclatantes.
Turbeh de Gül Baba :
Le bâtiment octogonal en pierre taillée rend honneur au souvenir d’un derviche pieux nommé Gül Baba (Père des Roses) qui était mort en 1541, lors de la célébration du service remerciant Allah de l’occupation de Buda, en l’église Mathias transformée en trois jours en grande mosquée. Après la reconquête de Buda, le turbeh fut transformé en chapelle chrétienne, mais en 1822, il redevient un lieu de pèlerinage des musulmans.
Église Sacré Cœur de Varosmajor :
L’église de Városmajor est avec son clocher une œuvre remarquable de l’architecture ecclésiastique hongroise et surtout de l’époque d’entre les deux guerres. Elle fut construite par Bertalan Árkay (1933-1937). Elle incita l’enthousiasme du métier et l’indignation du clergé (un article la traita de « garage à Dieu » en faisant allusion à la structure intérieure en béton armé de l’église). La toiture du clocher est composée de contours de cube légers que l’on peut voir aussi depuis la place Moszkva. Peu de monde sait que la raison pour laquelle le clocher se trouve aussi loin de l’église est qu’entre eux coule le ruisseau couvert d’Ördögárok.
Parc Saint Stéphane :
Le Parc Saint Stéphane (XIIIème arrondissement entre le Danube et la rue Hollán Ernő.). Le quartier situé au nord du pont Margit fut construit dans les années 1930, d’une vitesse séduisante, le long de la rue Pozsonyi parallèle au Danube, moderne et large. Le site le plus beau de tout le quartier est le parc Saint Stéphane dont une partie donne sur le Danube avec ses toits terrasses imposants. La hauteur des maisons y est de 25 mètres, elles ont toutes six étages. On commença les travaux de construction en 1928, sur un terrain de 33 000 mètres carrés. La plupart des immeubles furent conçus par Béla Hofstätter et Ferenc Domány.
Église Mathias :
Elle doit son nom au fait que les deux mariages du rois Mathias furent célébrée parmi ses murs. Sa porte du sud et son chœur datent du XIIIème siècle, la partie centrale fut bâtie vers 1400. A l’époque de l’occupation turque, son intérieur fut vidé, son décor recouvert de chaux. Plus tard, elle fut transformée en église baroque, sa rosace fut emmurée. Au milieu du XIXème siècle, ce fut une église modeste et balourde. Elle fut entièrement restaurée entre 1873 et 1896 par Frigyes Schulek qui dénicha tous les éléments originaux pendant la démolition. En effet, il récréa l’ancien bâtiment dans son imagination. La grande tour de 80 mètres de hauteur dont le rez-de-chaussée et le premier étage forment un carré et le reste est octogonal est presque authentique jusqu’au troisième étage. A partir de là, c’est le plan de Schulek. La peinture décorant les murs date également de la fin du XIXème siècle et s’inspire des pièces trouvées lors de la restauration.
Les vestiges souterrains du palais de l’époque de Sigismond :
Il n’y a que la partie superficielle du palais gothique qui fut détruite. Une partie des expositions du Musée de l’Histoire de Budapest présente bien tout ce qui nous en reste.
Église paroissiale de Belváros :
En arrivant par le pont Erzsébet, on ne pensait pas que la façade baroque ordinaire cache une véritable église centaure qui continue au-dessous de sa taille par un sanctuaire gothique. C’est le bâtiment de Pest qui est le plus vieux et dont l’histoire est le plus mouvementé. On y trouve même un fragment datant de la fin du XIXème siècle. Dès cette époque, chaque siècle le marqua (sous l’occupation turque, il servait de mosquée). Vers la fin du XIXème siècle il était même question de démolir l’église qui gênait à la construction de l’ancien pont Erzsébet. Heureusement que ce ne fűt pas ainsi. Avant les années 1930, elle était entourée de petits magasins.
Musée National de Hongrie :
Il n’y a aucun doute que cet édifice est la plus grande œuvre du classicisme hongrois. Il ouvrit ses portes en juin 1847, au bout de dix ans de travaux de construction comme le chef-d’œuvre de Mihály Pollack, installé au voisinage des champs de choux et des étables de Pest. Sa longueur dépasse la centaine de mètre, il est large de 70 mètres, haut de 24 mètres. Sa coupole est la copie réduite du Panthéon de Rome avec la seule différence qu’elle n’est pas ouverte. Au moment de son ouverture, le Musée National était bien plus que le seul musée national du pays. C’était aussi le siège de l’Académie Hongroise des Sciences, de la Société Kisfaludy regroupant les écrivains, on y organisait des concerts, parfois même des expositions de produits agricoles et puisque son jardin n’était pas encore clos, les spécialistes et les visiteurs devaient parfois éviter les bestiaux errants. Jusqu’à 1904, ce fut aussi le siège de la chambre haute du Parlement. Lors de votre visite de ce musée, prenez le temps de regarder les toits terrasses, un peu à l’image du quartier historique.
Pont des Chaînes :
Avant, il n’y avait pas eu de pont permanent reliant les villes de Pest et de Buda. Il y avait, du printemps à l’automne, un simple pont de bateaux. La construction du pont conçu par William Tierney Clark dura sept ans, il fut inauguré en 1849. La distance entre les deux piliers du pont suspendu est de 202 mètres. Les deux immenses piliers sont des éléments déterminant la vue de Budapest. C’est vrai également pour les quatre lions gardant le pont, installés à leur place en 1853. Les blasons décorant la partie centrale furent remplacés par le blason du pays communiste. Ils ne furent remis à leur place qu’en 1996. Le tunnel fut ouvert en 1857. Son créateur, le constructeur de pont Adam Clark installé en Hongrie n’est en aucune parenté avec l’architecte du pont.
Musée d’Aquincum :
Le musée présentant les vestiges découverts de l’ancien ville civile d’Aquincum ouvrit ses portes en 1894 et se visite du printemps à l’automne. Il fait partie actuellement du Musée de l’Histoire de Budapest. La collection comptant quelque cinq cents mille objets est fière de son lapidaire, de ses peintures murales et l’orgue aquatique datant de 228 et entièrement reconstruit. Dans le jardin des ruines, un « chronoscope » fut installé en 2005. C’est une invention hongroise qui nous permet de voir ce qui était jadis à la place des ruines selon l’état des recherches.
Musée de l’Art Décoratif :
C’est l’œuvre principale d’Ödön Lechner (en collaboration avec Gyula Pártos) La coupole fausse couvert de céramique Zsolnay colorée se fait repérer de très loin. Au contraste de son extérieur et du plafond de son entrée principale, son intérieur est actuellement blanc, et l’aula est couvert d’un toit de verre sur une structure de fer. Pourtant, les murs étaient, à l’origine, décorées partout de fleurs, mais vers la fin des années vingt, on pensait que l’Art Nouveau n’avait pas de valeur artistique et les murs furent peints. Lechner profita lors de la construction de ce bâtiment des avantages de la structure de fer et applique une ornementation très riche, inspirée d’éléments indiens.