Bruxelles est reconnu mondialement pour être une destination gay friendly agréable où il fait bon de passer ses vacances entre amis, avec son copain ou en famille. La capitale belge est accessible facilement en avion ou par train à partir de n’importe quelle grande aéroport ou gare d’Europe. Pour ses musées, ses rendez-vous festifs, la vie nocturne, son Manneken Pis, si petit et pourtant si célèbre, son Atomium récemment rénové, sa Grand Place, si imposante, son amour pour la BD, son architecture, savant mélange d’art déco et d’art nouveau, et son invité d’honneur : Magritte. La capitale européenne garantit un séjour à la fois culturel et tendance.

Bruxelles : pour des vacances gay friendly

Tourisme gay de Bruxelles

A Bruxelles, du passé au futur, il n’y a que quelques enjambées, et inversement. Le parlement européen et les institutions de l’Union européenne, aux bâtiments vastes, modernes et multiples, symbolisent bien la construction d’un continent en constante mutation sociale, culturelle, économique et politique. La richesse d’un passé toujours bien vivant s’exprime par les deux splendides parcs Léopold et du Cinquantenaire. Et tout autant par les trésors que renferment les Musées d’Art et d’Histoire, de l’Armée, de l’Autoworld ou des Sciences naturelles…

Dans les environs, chacun découvrira aussi le charme du musée Wiertz, l’élégante bibliothèque Solvay et l’étonnante maison-atelier de Paul Cauchie, qui en conçut les moindres détails en 1905, à l’âge de 30 ans. Dans les environs de ce parcours abondent cafés et restaurants, salons de thé et glaciers aux terrasses accueillantes. La place Jourdan est à elle seule un microcosme sympathique et cosmopolite. Pendant la semaine, il est courant d’y rencontrer de sévères eurocrates faisant la file devant une populaire baraque à frites, devenue une référence incontestable.

Bruxelles, une destination touristique incontournable

Guide gay de Bruxelles

La Belgique s’est construite en 1830 aux confins des pays latins et germaniques en regroupant sous le même drapeau national des citoyens appartenant à des cultures différentes. Dans le but d’offrir à ses diverses composantes l’autonomie qu’elles réclamaient, le pays a évolué vers le fédéralisme à coup de réformes institutionnelles progressives pour éviter toute rupture de sa cohésion. C’est la complexité de la structure belge, au sein de laquelle se côtoient ceux qui parlent le néerlandais (ou flamand), le français et l’allemand, qui est évidemment à l’origine de ce dosage si difficile à réaliser. Ainsi, certaines localités proches des frontières régionales ne sont pas linguistiquement homogènes: Bruxelles, dont les 19 communes forment l’entité “Bruxelles-Capitale”, est habitée par 85% de francophones et 15% de néerlandophones et Liège, majoritairement francophone, accueille des germanophones. La Belgique est forcée de se subdiviser tout à la fois en régions et en communautés.

Les avis des historiens divergent quant aux origines de Bruxelles, la plupart les situant au 10e siècle, certains les faisant toutefois remonter jusqu’au 7e siècle. Etymologiquement, l’appellation Bruxelles signifierait « hameau dans le marais ».

Il est, en revanche, bien établi que Bruxelles s’est développée au départ de 3 noyaux distincts, l’un situé dans la vallée de la rivière Senne (sous-affluent de l’Escaut), les 2 autres sur les collines immédiatement voisines. Dans le bas, le petit port établi sur la Senne prend progressivement de l’extension tandis qu’un quartier commerçant et artisanal s’étend autour d’une église consacrée à saint Géry. Sur la colline dite Coudenberg (Mont froid), un château fort est édifié par les comtes de Louvain (qui prendront plus tard le titre de ducs de Brabant) tandis que la colline d’en face voit l’oratoire consacré à l’archange Michel se transformer au milieu du 11e siècle en collégiale des Saints-Michel-et-Gudule.

Référence : Office du tourisme de Bruxelles